19/05/2011
Le FMI : prédateur des travailleurs
La médiatisation de l' affaire DSK laisse l'impression que ce fait divers scabreux masque l'agression mondialiste contre les peuples. La dégringolade de l'ex-espoir de la Gauche française, qui devait sa prise de fonction au FMI à l'adresse de Nicolas Sarkozy, ne doit pas nous faire oublier que son pire crime est de faire payer la crise du capitalisme aux travailleurs européens. Car les mesures prises par cette état-major de l'Orde Mondial provoque la destruction des classes populaires. Au même moment en Europe, des mouvements de résistance populaire s'organisent sans bruits dans les journaux français.
Des milliers de jeunes espagnols descendent de manière spontanée dans les rues des grandes villes du pays, protestant contre les plans d'austérité du gouvernement, les travailleurs grecs affrontent de manière offensive les forces de l'ordre, la Grande-Bretagne connaît les plus grandes manifestations étudiantes des dix dernières années contre les «coupes» du budget de l'enseignement, au Portugal des grèves massives sont organisées pour protester contre des mesures inhumaines. Les islandais refusent de payer pour la finance internationale... La colère gronde en Europe, il est important de le rappeler mais aussi de s'organiser en conséquence.
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