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30/01/2015

Cercle Rébellion Paris/Banlieues

 

Un cercle Rébellion Paris/Banlieues existe 

Pour le rejoindre une adresse : rebellionparis@yahoo.fr

ou sur facebook Cercle-Rébellion-Paris-Banlieue 

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21/01/2015

Affirmons nos idées !

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19/01/2015

Unité de la théorie et de l'action

 

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« Pas d'action révolutionnaire sans théorie révolutionnaire, pas de théorie révolutionnaire sans action révolutionnaire » pourrait être le sous-titre de Rébellion. Le lien entre théorie et action est central dans la démarche de notre revue. C'est l'affirmation que les idées s'incarnent dans l'action et peuvent transformer le cours de l'Histoire. C'est aussi mettre en avant l'engagement comme source de la force d'un idéal.

Le cours des événements nous oblige à rappeler que nous devons dépasser la simple « dissidence » ( qui peut très bien être compatible avec le système) et engendrer une authentique résistance. L'opposition au monde actuel doit être totale, elle doit passer par une remise en cause individuelle et collective. Une refonte de nos manières de voir et d'agir.

 Dans ce cadre précis, Rébellion mène son combat de manière intelligente, efficace et positive. Nous insistons beaucoup sur l'aspect créatif car nous avons trop vu comment certains « radicaux » pouvaient sombrer dans des dérives négatives et nihilistes. Nous croyons à la vertu de l'exemple pour entraîner les autres. Pour cela notre code de l'honneur nous impose d'être juste et fort. C'est-à-dire de respecter nos camarades, d'être honnête et humble, de nous former intellectuellement et de répondre à l'appel de l'action quand les événements l'exigent.

 Une fois les mirages électoralistes et les petites manipulations politicardes ( comme l'illusion de l'entrisme) évacués, nous nous retrouvons face à nos responsabilités. Nous ne pouvons compter que sur nos propres forces pour cela. Si nous ne faisons pas les sacrifices nécessaires, nous ne pouvons pas attendre d'autres qu'ils le fassent. Nous serons jugés sur nos réalisations concrètes !

L'ensemble de la rédaction tient à remercier l'ensemble des abonnés et donateurs. Par votre aide précieuse, vous nous aidez à poursuivre notre combat.

  

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15/01/2015

Georges Orwell V/S Big Brother

 

george-orwell-2.jpg Georges Orwell (de son vrai nom Eric Blair) fut un homme engagé qui échappa pourtant à tout dogmatisme. Quand la majorité des intellectuels de son époque succomberont aux sirènes du totalitarisme, lui, restera un esprit libre (chose qui ne lui fut pas pardonnée). Socialiste convaincu, ses positions politiques s’inspirent plus de son expérience de l’existence que de lectures théoriques.

Quand pensée et action s’unissent

Né au Bengale en 1903, sa famille fait partie de ses fonctionnaires zélés qui firent la grandeur de l’empire Britannique. Envoyé suivre ses études en Angleterre, il retourne aux Indes pour devenir officier de police en Birmanie. Au bout de cinq ans de service, il rentre en Europe dégoûté à jamais de l’impérialisme. Lui qui avait déjà montré, pendant sa scolarité, son aversion pour toute forme d’injustice, réprouve l’étroitesse d’esprit de la petite caste coloniale et la misère dans laquelle elle maintient les peuples colonisés. Renonçant à toute forme de carrière, il veut se consacrer à l’écriture et se tourne vers le journalisme. Collaborant à la presse de gauche et libertaire, on l’envoie dans les bassins houillers du Nord de l’Angleterre pour faire un reportage sur les conditions de vies des mineurs. Il vécut ainsi plusieurs mois avec les ouvriers de Wigan et Sheffield dans la grisaille du pays houiller. `C’est une révélation pour lui, il tirera de son expérience son style saisissant de vérité et ses convictions socialistes (1). Il observe la dignité et la solidarité quotidiennes des travailleurs, ce « Common decency », cette civilité de tous les jours des humbles. Hautement moral, ce sentiment d’entraide rejette l’égoïsme du capitalisme marchand. Poursuivant sa vie de journaliste sans le sou pendant les années 30, il connaît la galère et se retrouve au bord de la misère. Il fréquentera même les hospices pour vagabond et multipliera les petits boulots pour survivre (2).

La Catalogne libre : le rêve en arme

Quand en 1936, la guerre civile éclate en Espagne, il se précipite à Barcelone pour s’engager dans les rangs républicains (3). Il se retrouve dans une capitale catalane en pleine ébullition révolutionnaire. Orwell rejoignit les miliciens du POUM (Parti Ouvrier d’Unification Marxiste), il mit à contribution sa formation militaire britannique et forma les jeunes miliciens espagnols sans expérience, à la caserne Lénine. Avec eux, il monta vers les tranchées du front d’Aragon. Quand il descend pour une brève permission après un hiver en enfer, il découvre Barcelone plongé dans des combats fratricides entre d’un coté les milices du POUM et de la CNT-FAI anarchistes et les communistes soutenus par les agents soviétiques que Staline a envoyés en masse en Espagne.

Dégoûté, il remonte pourtant en première ligne pour fuir cette atmosphère étouffante. Le 20 Mai, Orwell est grièvement blessé d’une balle qui lui traverse la gorge. En convalescence, il apprend l’écrasement du POUM par les staliniens. Les responsables de l’organisation sont kidnappés et exécutés clandestinement par les communistes, les miliciens sont désarmés et versés dans la nouvelle armée républicaine dirigée par le Parti Communiste. Orwell doit quitter en secret l’Espagne pour échapper aux agents staliniens à sa poursuite. Pourtant, si l’aventure finit mal, il restera porteur d’un rêve d’émancipation de la Catalogne Libre.

Un homme libre contre le totalitarisme

A partir de son retour, son refus de tous les totalitarismes sera absolu et il les combattra par tous les moyens. Le Pacte germano-soviétique est pour lui la confirmation de la convergence des forces autoritaires. Il rejoint le camp des démocraties, avec le sentiment clair qu’entre deux maux, il faut choisir le moindre. Si le gouvernement de son pays était loin d’être parfait, la vieille tradition de liberté individuelle anglo-saxonne présentait infiniment plus de garanties pour son indépendance de pensée que les dictatures nazies ou soviétiques.

Durant la guerre, il met sa plume au service des alliés, il est annonceur à la BBC et couvrira comme reporter les derniers combats sur le front Ouest. Il écrit pendant cette période, la Ferme des Animaux, critique du stalinisme et dénonciation de la trahison par les communistes des révolutions russe et espagnole. Le livre ne trouvera pas d’éditeur sous la pression des autorités anglaises qui ne veulent pas froisser la susceptibilité du petit père des peuples qui est encore un allié des démocraties. Quand débutera la guerre froide, les choses vont bien changer, puisque le livre sera récupéré pour servir la propagande anti-communiste la plus primaire (La CIA financera même les adaptations cinématographiques de la ferme et de 1984). Ayant perdu sa femme, Orwell va se retirer dans une petite Île, au large de l’Ecosse. Vivant la vie paysanne et élevant son fils adoptif, il réalise son rêve d’un retour à la terre hors des tumultes du monde moderne. Quand la maladie le rattrape, il s’épuise à boucler son dernier livre, 1984. Endurant stoïquement les pires souffrances, il termine son œuvre majeure avant de mourir de la tuberculose, le 21 janvier 1950.

L’autre socialisme

Orwell ne s’est jamais gêné pour attaquer dans ses écrits les intellectuels de gauche qui prônaient, dans leurs confortables salons, la dictature du prolétariat, mais qui pour rien au monde n’auraient pu supporter de vivre à leurs côtés. Cette « gauche tapette », comme il l’aimait l’appeler sur un ton moqueur, faisait fuir par ses discours vains et creux ceux que le socialisme aurait pu attirer. L’auteur de 1984 avait une vision concrète et pratique du socialisme : «  Si quelqu’un commençait par demander qu’est-ce que l’homme ? Quels sont ses besoins ? Quelle est pour lui la meilleure façon de se réaliser ? on découvrirait que le fait d’avoir le pouvoir d’éviter tout travail et de vivre de la naissance à la mort dans la lumière électrique en écoutant de la musique en boîte, n’est nullement une raison de vivre de cette manière. L’homme a besoin de chaleur, de loisir de confort et de sécurité : il a aussi besoin de solitude, d’un travail créateur et du sens du merveilleux. S’il reconnaissait cela, il pourrait utiliser les produits de la science et de l’industrie en fondant toujours ses choix sur ce même critère : est-ce que cela me rend plus humain ou moins humain ».

Un socialisme qui chercherait, à défaut de pouvoir parfaire la société humaine, à la rendre meilleure ne serait-ce qu’en réduisant l’injustice et les inégalités, une société décente basée sur la recherche du bien commun. Orwell savait que si cette société n’arriver pas, l’humanité se verrait plonger dans la barbarie sans fin : « Si vous désirez une image de l’avenir, imaginez une botte piétinant un visage humain éternellement » écrivait-il dans 1984. Il plaçait ses espoirs dans la prise de conscience des masses populaires, qui tôt au tard, se dresseront contre l’oppression.

À Lire

1) Le quai de Wigan, collection 10/18.

2) Dans la dèche à Paris et à Londres, collection 10/18

3) Hommage à la Catalogne, collection 10/18

La Ferme des Animaux et 1984 sont disponibles en Folio.

Nous conseillons vivement la lecture des deux livres de Jean-Claude Michéa, Orwell, anarchiste tory et Orwell éducateur, aux éditions Climats.

Les essais, articles et lettres politiques de Orwell furent édités par Ivréa et l'Encyclopédie des nuisances en 3 volumes : une mine de radicalité enfin disponible en français.

Article paru dans Rébellion 7 de Juillet/Aout 2004.

 

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13/01/2015

Les Nanotechnologies : Aux frontières du réel ?

 

Pièces et Main d’Oeuvre, nanomonde, RFID, nanotechnologies, Julien Teil,

 

La science peut-elle repousser indéfiniment les limites du possible ? Cette question, nombre de têtes pensantes du système se la posent. Sans souci des conséquences, elles poursuivent le but de dépasser les limites que la Nature nous fixe. Leur but : donner un nouvel espace de développement pour le capitalisme. Même si cela doit conduire à la destruction de l'Humanité.

Le collectif «Pièces et Main-Oeuvre» mène depuis dix ans un travail d'analyse et d'information sur les applications des nouvelles technologies par le système. Nous présentons ici une synthèse de ce travail pour nos lecteurs et nous les encourageons à découvrir l'ensemble de leurs travaux. ( article paru dans le Rébellion 47 ) 

Les nanos à l'assaut du monde...

Mais qu'est-ce que les nanotechnologies ? Le préfixe «nanos» ("nain" en grec ancien) fait référence au milliardième de mètre, soit environ un cent millième de l'épaisseur d'un cheveu. Né en 1981 dans le laboratoire d'IBM de Zurich, le microscope à effet tunnel est le premier outil à avoir permis l'observation de la matière à l'échelle de l'atome, entre 0,2 et 0,3 nanomètre. A l'aide d'une sonde métallique, il «palpe» la surface à étudier et permet une manipulation des atomes.

Les nanotechnologies concernent la fabrication et la reproduction de mécanismes et de produits élaborés de toutes pièces à partir d'atomes ou de molécules. Le matériel génétique et la matière inerte deviennent ainsi un jeu de legos manipulables à volonté, dans les nanos-usines du futur. Exactement comme la nature produit des arbres, des montages et des être vivants avec de la matière première moléculaire. Il ne s'agit plus de refaçonner les éléments puisés dans l'environnement mais bel et bien d'instaurer une nouvelle nature : des nanorobots capables d'auto-reproduction et programmés pour assembler atome par atome les matériaux . La nanotechnologie est à la matière inerte ce que la biotechnologie est au vivant. La recherche sur les nanotechnologies s'intéresse actuellement surtout aux molécules de carbone, mais elle pourrait s'étendre à la table complète des éléments. Entre dix et cent nanomètres notamment, la nature réalise de nombreuses machines moléculaires. D'où la continuité entre bio et nanotechnologies, aboutissant aux nanobiotechnologies. Les chercheurs savent déjà manipuler des bactéries pour leur faire produire des substances particulières, notamment médicamenteuses. En manipulant atomes et molécules un à un, on revient au stade antérieur à l'apparition de la vie. Autrement dit, si je peux rassembler comme je veux atomes et molécules, je peux créer une autre vie : virus artificiels, connexions entre nerfs et ordinateurs, transparence absolue du génome, machines microscopiques et donc invisibles, biopuces fournissant instantanément des informations sur notre patrimoine génétique et notre état de santé ...

Quand l'oligarchie recherche à survivre

Les applications des nanotechnologies sont déjà présentes dans notre vie quotidienne. L'informatique, la téléphonie et la RFID ( « Radio Frequency IDentification » - identification sans contact par des puces électroniques. ) connaissent déjà les retombées des recherches sur cette nouvelle technologie. Même si certaines applications des nanos sont futiles (comme l'électro-ménager "intelligent"), d'autres sont plus inquiétantes et révèlent les objectifs de ceux qui les financent.

Déjà, des laboratoires fournissent au complexe militaro-industriel des nouvelles armes de destruction ciblées. Des nanos dronesi poursuivant leur cible sans le moindre répit laissé aux «armures» protègent et décuplent le potentiel physique des soldats d'élite, cet arsenal est déjà en possession des Etats-Unis. Couplé aux nouvelles technologies du fichage (rendu possible par les puces RFID ou la biométrie), on comprend vite que le système a la capacité de mettre en place un techno-totalitarisme encore plus difficile à combattre. Les personnes qui tentent de nous alerter sur ce risque sont souvent traitées de paranoïaques, mais les « paranos » peuvent aussi avoir raison...

Cette technologie est donc aux mains des puissants, de l'Oligarchie qui tente d'assurer sa survie. Elle compte bien en tirer de futurs profits, ces nouvelles sciences du XXIe siècle – génétique, nanotechnologie et robotique- pourraient bien créer un masse gigantesque de nouvelles richesses, peut-être de l'ordre d'un million de milliards de dollars. Cette prodigieuse création de richesses, accompagnée des autres impacts des nouvelles technologies, débouchera dans le rêve du capitalisme sur des changements infiniment plus importants que ceux des deux premières phases de la révolution industrielle. L'investissement privé dans le domaine est déjà colossal, mais pas seulement. Le gouvernement américain, de son côté, injecte chaque année 600 à 700 millions de dollars dans ce secteur. L'Union Européenne (avant la crise) allouait 700 millions d'euros à des groupes de recherche sur la question pour permettre de rester dans la course.

Circulez, il n'y a plus de débat possible …

Le fait de lâcher dans la nature des techniques capables de modifier totalement le vivant est plus qu'inquiétant. On n'en connaît pas encore les retombées possibles et tout est fait pour les minimiser. Nous pensons pour notre part que cela est d'autant plus surprenant si l'on considère l'état actuel de la réflexion épistémologique contemporaine sur la connaissance que les sciences expérimentales peuvent avoir du réel. L'idée d'un déterminisme absolu régnant dans la nature et que seule l'imperfection de l'esprit humain empêcherait de cerner totalement (1), paradigme scientifique issu de la physique classique depuis le 17° siècle, a été amplement critiqué et dépassé par le modèle d'un déterminisme statistique voire parfois opposé à de l'indéterminisme présent au coeur du réel. La science ne saisirait qu'un "réel voilé" (B. d'Espagnat). Alors comment prétendre dans ces conditions que les techniques, elles-mêmes étant par nature toujours porteuses d'une marge d'imperfection, n'engendreront que des conséquences entièrement maîtrisées alors que la théorie elle-même n'est pas en état de les prévoir?! Il existe en fait un décalage inouï entre les connaissances théoriques des sciences de la nature et leur épistémologie d'une part, et la pratique scientifique financée, orientée par le capitalisme en vue de la domination technique du réel, d'autre part. La réflexion théorique fondamentale est déterministe statistique, probabilitaire, le discours idéologique est déterministe-mécaniste, scientiste, et l'application technique est chaotique, désastreuse sur le plan écologique.

Un débat public avait été lancé en France sur la question ; le Gouvernement l'avait inclus dans le cadre du «Grenelle de l'Environnement» . En 2010,17 villes françaises accueillirent cette consultation populaire censée ouvrir la voie à un examen démocratique et indépendant des applications liées aux Nanotechnologies. Comme le rapporte Julien Teil dans l'un de ses articles, le débat est dès le départ verrouillé par ceux qui ont intérêt que cette technologie soit acceptée par la société. Sous hautes surveillances policières, ces consultations ont été marquées par une forte propagande de lobbys commerciaux et scientifiques qui veulent que la marche vers le «nanomonde» soit irrémédiable.

Selon l'analyse de Julien Teil, «la mise en place de ce débat n'est donc pas un préalable à une concertation populaire. Il semble obéir à d'autres attentes, et n'être qu'un moyen d'obtenir habilement le consentement de la population: seuls les mécanismes de gouvernance peuvent être discutés. L'avis du peuple concernant le développement des nanotechnologies a certes droit de cité mais est en revanche mis à l'écart par l'encadrement inéquitable du débat. Car les nanotechnologies sont déjà là, et le resteront. Il nous est simplement proposé de donner notre avis sur le mode de régulation le plus adapté ainsi que sur les lois qui en découleront». Comme pour le nucléaire ou les OGM, le but n'est pas de donner à la population des outils d'analyse sur le sujet mais de présenter la situation sous le contrôle des experts et des scientifiques (qui sont loin d'être unanimes sur l'aspect anodin de ces technologies. « Nous ne sommes déjà plus tout à fait humains, nous qui abandonnons notre prérogative d'humains (le libre arbitre) à leurs manipulations » déclare le collectif Pièces et Main d'Oeuvre...



NOTE :

1) Le scientifique français, Laplace, avait résumé au début du 19° siècle la conception du déterminisme issu de la physique newtonienne de la façon suivante : une intelligence surhumaine disposant de la connaissance des positions et des forces d'impulsion concernant tous les atomes présents dans l'univers à un instant donné pourrait remonter jusqu'aux causes les plus lointaines ayant engendré la situation présente dans la nature et pourrait légitimement prévoir tout ce qui adviendra dans le futur de celle-ci. Le monde physique est comme une horloge qui a été remontée une fois pour toutes et qui marche automatiquement.

Pour aller plus loin sur le sujet :

Les livres de Pièces et Main d’Oeuvre parus aux éditions de l'Echappée :

- Le téléphone portable, gadget de destruction massive

- RFID : la police totale. Puces intelligentes et mouchardage électronique

- Aujourd’hui le nanomonde. Nanotechnologies : un projet de société totalitaire

- A la recherche du nouvel ennemi. 2001-2025 : rudiments d’histoire contemporaine

Le site du collectif : http://www.piecesetmaindoeuvre.com/

Julien Teil, Le Débat Public sur les nanotechnologies adémocratiques,article disponible sur le site http://www.legrandsoir.info

 

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