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26/07/2013

Libre Journal de Pascal Lassalle : Perpectives eurasistes !

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Samedi midi vous êtes pris!
Pascal Lassalle, en solo pour cette émission estivale exceptionnelle, recevra Alexandre Douguine, altière figure du néo-eurasisme, accompagné de sa fille Dari Douguina, directrice du projet "Alternative Europe" et de Louis Alexandre, membre de la rédaction de la revue "Rébellion" pour aborder les perspectives ouvertes par la vision du monde eurasiste (sortie du livre "L'appel de l'Eurasie" aux éditions Avatar) et le concept porteur de "quatrième théorie politique".

Bonne écoute!

Entretien avec le Cercle Non-Conforme de Lille

Réponses de Jean Galié et de Louis Alexandre.


1/ Quelle est la genèse du projet de Rébellion ?

Louis Alexandre : La revue Rébellion est née de la volonté d'un petit groupe de camarades toulousains de dépasser les limites de « l'extrémisme » de droite comme de gauche. Au début des années 2000, nous étions face à des impasses et il nous fallait chercher ailleurs la rupture révolutionnaire à laquelle nous aspirions...

Nous avons donc débuté un travail d'inventaire sans concessions, nous ne pouvions compter que sur nos forces et notre volonté. Mais cela a finalement payé et nous avons réussi à rendre crédibles nos idées. Aujourd'hui encore, nous conservons l'effervescence de cette époque dans nos esprits

2/ Quel bilan tirez-vous de vos 10 ans d’activisme dans la diffusion des idées ? 

Louis Alexandre : Il ne faut pas avoir peur de défricher de nouveaux terrains, d'aller de l'avant et de lancer des initiatives. Nous avons été, à notre modeste niveau, des précurseurs souvent isolés à nos débuts. Mais des thèmes que nous avons développés voici dix ans trouvent un écho dans un large public aujourd'hui. Cela nous réjouit, mais nous ne devons pas nous reposer sur nos lauriers.

Il ne sert à rien d'entreprendre une bataille politique, si nous n'avons pas d'abord gagné la bataille des idées. Et nous ne gagnerons la bataille des idées que si nous parvenons à donner un sens cohérent et compréhensible à notre pensée. Il était important de faire de Rébellion une arme efficace dans cette bataille, c'est actuellement notre chantier principal.

3/ Constatez-vous un intérêt croissant pour votre revue ces derniers temps ?

Louis Alexandre : La revue connaît un développement important depuis trois ans. Cela n'est pas le fruit de la chance ou du hasard, mais repose sur un important travail. C'est le résultat de prises de contact directes, de campagnes militantes, d'organisations d'événements et de nombreux déplacements dans toute la France pour notre équipe. Le travail et l'effort sont la source de la réussite de tout projet.

Le succès actuel de notre publication a révélé une attente d'un large public. Rébellion est pour cela une revue singulière car elle agrège un lectorat vraiment non-conformiste et venu d'horizons très différents. Ce succès, nous le devons à nos lecteurs et aux camarades qui œuvrent pour faire connaître nos idées. Nous ne pourrons jamais assez les remercier pour cela.

 

4/ Quels sont les auteurs qui sont au cœur de la pensée de votre revue ?

Jean Galié : Cela est clairement dit dans la rubrique exposant la présentation de nos positions se trouvant dans chaque numéro (Proudhon, Blanqui, Sorel...) . Brièvement, disons qu'il s'agit de la tradition révolutionnaire transmise au sein de l'expérience du mouvement prolétarien dans sa dimension internationale. Il faut avoir recours à la pensée des auteurs ayant traduit de la manière la plus intelligente l'aspiration à la constitution de la communauté humaine débarrassée de l'aliénation capitaliste. Toute réflexion allant en ce sens mérite d'être examinée. De même, celle-ci peut fournir des bases afin de ne pas chuter dans des impasses et des fausses oppositions au système dominant. A ce niveau, la théorie marxienne est incontournable ainsi que l'étude des auteurs et courants s'étant situés à la marge et en opposition à la social-démocratie, au marxisme officiel, etc.

5/ Quels sont les auteurs à suivre aujourd’hui selon vous ?

Jean Galié : "Suivre" pas dans le sens de suivisme, bien évidemment. Comme nous le disions à l'instant, le recours aux "classiques" de la pensée de la communauté humaine authentique (le communisme marxien) alimentera toujours notre orientation. Il s'agit d'une question de méthode afin de ne pas s'égarer et non pas de nostalgie muséale. Après, il y a bien sûr, des auteurs apportant leur pierre à l'édifice de la critique du système. Alain de Benoist fait un travail remarquable à cet égard, en abordant les questions essentielles se posant au monde contemporain et en éclairant leur genèse et leur soubassement philosophique. Citons, du côté du courant marxiste, le travail fécond de Costanzo Preve en Italie, dont quelques ouvrages sont traduits en français et dont les productions méritent d'être plus connues en France, au-delà des efforts déjà existants de ceux qui les popularisent chez nous. On peut trouver évidemment d'autres auteurs intéressants, abordant telle ou telle question mais nombre d'entre eux restent bien souvent à mi-chemin de la critique à conduire selon nous (Michéa, par exemple).

Louis Alexandre : Dans les auteurs actuels, j'ajouterai aussi les travaux d'Alexandre Douguine sur l'alternative eurasiste.

 

6/ Comment définissez-vous votre pensée politique ?

Jean Galié : Dans les conditions présentes - et depuis longtemps - la politique est un rapport de forces entre classes antagonistes. La classe dominante le sait très nettement et joue de cet avantage. La puissance "publique" n'est pas neutre, même si l'Etat a du faire des concessions aux travailleurs à la suite de leurs luttes et aussi pour mieux les anesthésier. Mais ces "avantages acquis" au sein du monde aliéné ne sont néanmoins pas éternels et sont en train de disparaître assez rapidement. L'offensive est conduite par les forces du capital. Alors, la politique que la classe exploitée devrait conduire serait la stratégie afin de combattre les attaques de celles-ci. Cela, sans illusions, il est nécessaire de s'affronter à l'organe de la coercition dominante, l'Etat. La politique serait l'expression du devenir hégémonique des prolétaires conscients sur les forces de la dissolution du lien social par laquelle le capital se reproduit dans son ensemble. L'hégémonie du prolétariat est corrélativement sa disparition en tant que condition prolétarienne soumise au travail salarié dominé par le fétichisme de la marchandise. Ce n'est qu'à cette condition que l'on peut envisager la fin de l'autonomie du politique au-dessus de la société et l'au-delà de la politique.

 

7/ Quels sont vos liens avec les milieux dits de « gauche radicale » ou de « droite radicale » ?

Jean Galié : Ces notions et courants, "radicaux" ou pas ne nous intéressent pas. Nous écoutons, et nous pouvons dialoguer avec tous ceux qui manifestent une volonté authentique de tourner le dos à ce système capitaliste pourri. Malheureusement, ils sont encore trop peu nombreux même si des intentions de révolte apparaissent çà et là. Les lubies de droite et de gauche sont paralysantes ; si vous comprenez que ce monde ne peut être aménagé au sein d'un consensus entre classes sociales, alors allons-y! Réapproprions-nous nos conditions d'existence sociale, c'est cela le fond du problème!

 

8/ En quoi consiste concrètement l’OSRE ? Pour quelle(s) raison(s) cette structure a été créée ?

Louis Alexandre : L'Organisation Socialiste Révolutionnaire Européenne est l'expression militante des idées de la revue Rébellion. C'est le regroupement des personnes voulant faire vivre ses idées sur le terrain. C'est le fer de lance de la diffusion de notre revue et le vecteur de campagnes ciblées ( par exemple contre l'Otan, pour la libération sociale et nationale de l'Europe...).

 

9/ Que pensez-vous des initiatives du réseau MAS ?

Louis Alexandre : Il nous apparaît qu'une lutte isolée limite la portée de l'idée socialiste révolutionnaire européenne. Il est donc primordial de participer au vaste chantier de construction d'un mouvement dissident balbutiant. Nous croyons en la nécessité d'une coordination de l'ensemble des groupes qui œuvrent dans ce sens. En suivant l'idée d'un enracinement dans la réalité, nous considérons que la création d'un réseau souple d'échanges et de mise en commun d'expériences et de compétences est possible entre les divers organisations, cercles, associations et publications qui partagent les mêmes valeurs.

Nous partageons justement avec le MAS ses valeurs militantes. C'est une structure politique intelligente qui recherche une véritable rupture militante. Nous soutenons donc ses initiatives de solidarité sociale, sportive et de formation. Nous sommes aussi des auditeurs fidèles de Méridien Zéro.

10/ Passons de la théorie à la pratique… Que doit faire un dissident aujourd’hui dans sa vie quotidienne pour résister au Système et pour entamer la reconquête de la souveraineté nationale et populaire ?

 

Louis Alexandre : Ne pas avoir peur de s'investir sur plusieurs fronts est notre philosophie militante. Quand l'on nous dit qu'un choix doit être fait entre la réflexion et l'action, le politique et le culturel... nous répondons que nous refusons cette hémiplégie de l'engagement. En investissant tous les espaces d'action, nous imposerons d'autant mieux notre vision globale, nos solutions à la fin du monde capitaliste moderne.

De même, en participant activement à la vie de la communauté dissidente naissante, on donne un sens véritable à son existence. Elle devient une tension créative et tragique vers un idéal. Une fidélité sans actes à des idées n'est rien ; un engagement est nécessaire pour les faire vivre. Nous avons tous des obligations et des moyens limités. Mais notre volonté n'est-elle pas plus forte ? Ne pouvons-nous pas faire mieux ?

Ne regardons pas ailleurs et ne jugeons pas les autres si nous ne sommes pas capables de faire mieux qu'eux. Soyons sérieux et efficaces. Un militant doit toujours être exigeant envers lui- même, il ne doit jamais se reposer sur les acquis mais conserver un esprit d'avant-garde. La force de l'exemple, la volonté de faire mieux et la camaraderie doivent être le cœur vivant de son engagement. 

 

Par des conférences et des activités culturelles, le Cercle Non Conforme, cercle culturel du MAS Nord, entend promouvoir les valeurs de résistance et de reconquête et le sens réel de la communauté : communauté de culture, d'entraide mais aussi de combat. Le CNC diffuse Rébellion. 


 

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22/07/2013

Soutenez notre action ! Abonnez-vous !

Pour les 10 ans de la revue Rébellion, nous avons lancé une vaste campagne d'abonnements. Il nous faut 150 abonnés de plus pour renforcer véritablement notre revue. Cet objectif est réaliste, mais nous devons compter sur vous , camarades lecteurs, pour nous soutenir. Montrez votre solidarité et votre engagement dans la bataille de la diffusion !  L'abonnement à Rébellion est un acte militant simple, efficace et indispensable ! 

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16/07/2013

Nouveau autocollant de l'OSRE

 

Une nouvelle campagne d’autocollants est maintenant disponible 

pour la diffusion militante :

3 euros les 25 exemplaires - 6 euros les 50 exemplaires 

12 euros les 100 exemplaires

Commande ( port compris)  : OSRE c/o RSE BP 62124 31020 TOULOUSE cedex 02


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08/07/2013

Editorial du numéro 59 de la revue Rébellion

DESORDEM E PROGRESSO

Le positivisme vient d'être mis à mal au Brésil par la pratique de la lutte de classe dont on conviendra qu'elle constitue un critère d'évaluation et de réfutation d'une théorie se réclamant de la scientificité. Il est bien connu que la devise figurant sur le drapeau national brésilien, "ordem e progresso" a été imposée dans la deuxième moitié du 19° siècle par des disciples brésiliens du français Auguste Comte ayant qualifié sa philosophie de positiviste, indiquant par là que la pensée scientifique établissait des corrélations constantes entre phénomènes, méthodiquement mesurables. Ainsi aurions-nous l'opportunité et le devoir d'abandonner la pensée théologique et métaphysique précédant l'ère positive s'offrant désormais à nous. Le progrès se déroulant irréversiblement dans l'histoire pourrait être appliqué jusqu'au sein de la vie sociale devenant elle-même un objet de science et de prévisibilité que la sociologie rendrait possible. L'ordre intellectuel se distillerait par le canal de la raison jusqu'au cœur des phénomènes sociaux, rendant dès lors possible l'application de la recette positiviste afin de, comme le soulignait ironiquement Karl Marx, "faire bouillirles marmites de l'avenir". Comme le philosophe français était moins sot et plus sensible que ses héritiers du 20° siècle (tels Karl Popper et l'Ecole de Vienne), il avait néanmoins compris qu'il faut bien faire lien social et que les hommes doivent être reliés par quelque chose qui transcende leur singularité sous peine de sombrer dans un libéralisme vide parce qu'individualiste. La religion devint alors dans son esprit, celle de l'Humanité qualifiée de Grand Etre duquel toutes les générations passées et actuelles participent ; ce qui a au moins l'avantage de mettre en avant les devoirs de chacun plutôt que les fameux droits de l'homme, dernière fantaisie métaphysique dans l'histoire, selon le penseur positiviste. Cette doctrine a plus ou moins inspiré la plupart des hommes politiques brésiliens ayant exercé le pouvoir jusqu'à nos jours et il existe même encore des représentants de l'Eglise positiviste au Brésil. Ce que l'on sait moins, c'est que le PT de Lula a lui-même subi l'influence d'un tel courant de pensée. Cela se traduit par la vision interclassiste qu'il défend ; le prolétaire étant invité par l'idéologie positiviste à participer à l'effort productiviste et progressiste et incarnant aussi bien le travailleur salarié aux revenus modestes que le capitaliste entrepreneur. L'accession au pouvoir de Lula a justement été rendu possible par la collaboration des classes et le soutien qui lui a été apporté par certains secteurs de la bourgeoisie nationale brésilienne. C'est sans doute une des clefs expliquant le maintien de son parti politique aux fonctions suprêmes et de la relative mansuétude lui ayant été accordée jusqu'ici par l'impérialisme dominant. Ce consensus interclassiste vient de se fissurer ouvertement comme il est possible de le constater avec les récents évènements de contestation et d'affrontements s'étant produits dans certaines grandes villes du Brésil. Si le culte footballistique y fait toujours recette, il n'en reste pas moins vrai que la conscience du fossé existant entre les conditions d'existence de millions de prolétaires et le monde des affaires, des spéculations financières et immobilières autour de l'organisation de la compétition vouée au ballon rond, a émergé clairement, donnant lieu à des revendications portant initialement sur la question du prix des transports, question vitale pour les travailleurs esclaves d'un mode de vie délirant au cœur des mégalopoles que l'on connaît.

Le prolétariat a pris ponctuellement ainsi son destin en mains, en critiquant violemment la gabegie entretenue par l'oligarchie en place qui tentait comme d'habitude de se donner à elle-même et au regard aliéné des spectateurs mondialisés, la représentation festive de sa propre réussite sur le champ de la compétition sportive marchandisée. L'imposition de l'ordre et du progrès capitalistes sur toute la surface du globe n'est qu'un désordre, un chaos, asservissant l'immense majorité des travailleurs salariés. La prise de conscience de cette condition imposée par la quête du profit et qu'aucun gouvernement social démocrate (y compris le PT) ne remet en question, constitue le sens et la leçon majeure de la critique pratique mise en œuvre par les manifestants brésiliens en colère.

Ceux-ci ne sont pas essentiellement des membres des fameuses "classes moyennes" comme aime à les présenter l'idéologie médiatique du système et que celle-ci découvre de façon récurrente lors des moments de contestation plus ou moins radicale depuis "le printemps arabe" jusqu'aux récents évènements en Turquie. La réalité est que le système capitaliste globalisé produit avec les mêmes causes, les conditions modernes d'aliénation, des effets globalement identiques. En cherchant son bonheur (un profit maximum) sous des cieux éloignés des centres prolétariens occidentaux traditionnels, le capital pensait également y trouver des prolétaires peu aguerris dans les luttes sociales. Néanmoins, cette année, les manifestations du 1°mai ne furent pas de tout repos, par exemple, pour les représentants des pouvoirs exotiques. De même, il n'échappera à personne la différence qualitative entre la colère de rue s'exprimant politiquement en marge des terrains de football au Brésil et le chaos engendré, il y a quelques semaines à Paris, par le lumpenprolétariat que draine l'entreprise qatarie du PSG et qui fait l'aubaine de la stratégie du pouvoir régnant par le désordre. Partout dans le monde, le capital fait naître ses propres fossoyeurs, non pas des "classes moyennes" mais des êtres humains recevant parfois une éducation, une formation, rendues nécessaires par les critères de fonctionnement et de rendement propres au processus de valorisation capitaliste contemporain. Pour autant, l'existence de ces nouveaux travailleurs, souvent au chômage et sans avenir glorieux de réussite sociale, n'en est pas moins soumise à l'aliénation généralisée. Dans la plupart des pays "émergents", dorénavant, la critique sociale peut se hisser à un niveau qualitatif à la hauteur des enjeux contemporains de la lutte de classe. Parallèlement, la classe dominante tente d'ériger ses contre-feux idéologiques à l'aiguisement de celle-ci, en faisant la part belle à la légitimité d'une demande de "plus de démocratie", de respect des "droits de l'homme" et autres sornettes habituelles. Ainsi, certains représentants du PT brésilien se posent la sempiternelle question que la mauvaise conscience sociale démocrate se pose, d'un infléchissement nécessaire de la politique du parti "à gauche" puisqu'il apparaît nettement que les travailleurs n'ont pas été totalement anesthésiés. Les compromis idéologiques, les consensus interclassistes n'ont donc pas une efficacité absolue. En Turquie, l'islamisme capitaliste s'est effrité dans une société ouverte économiquement à la modernité du marché mondial ; le parti sensé défendre "la Justice" était trop sensible à l'édification de nouveaux lieux de culte voués à la marchandise et à l'attrait de la spéculation immobilière. La colère populaire s'est alors fait vigoureusement entendre. S'il n'y a pas encore matière à voir dans les divers phénomènes que nous venons d'évoquer, les prodromes de la révolution, il y a pourtant lieu d'y percevoir les symptômes d'une prise de conscience populaire des impasses et contradictions du système capitaliste dans son ensemble, du fait également, que nulle part ce dernier n'est porteur d'un avenir radieux d'ordre et de progrès comme le croyait le positivisme du 19° siècle hérité, en particulier mais pas exclusivement (1), par l'idéologie de "gauche". Dès lors se dresse le défi, pour le prolétariat, de mener sa critique jusqu'au bout, jusqu'au fondement du système, à la source d'où s'extraient le surtravail, la survaleur permettant d'ériger le mode de vie mondialement défiguré par l'aliénation.

 

NOTE :

1) Rappelons que Charles Maurras se référait explicitement à Auguste Comte.