Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

03/12/2011

Meridien Zéro : Emission avec l'équipe de l'OSRE et de la revue Rébellion

Une émission placée sous le signe de la révolte et de la dissidence révolutionnaire. 
Le Lieutenant Sturm et PGL reçoivent nos camarades de l'OSRE et de la revue Rébellion.  

3845140870.png

DIFFUSION LE DIMANCHE 4 DECEMBRE 2011

http://meridienzero.hautetfort.com/

21/06/2011

Un Socialisme aux couleurs de la France et de l’Europe

Il n’est pas dans notre intention d’exposer ici un programme définitif pour le SRE, nous avons conscience que nous ne sommes pas encore aux portes du gouvernement (mais il dépend de nous de rendre cela possible par nos actes. N’ayant pas la capacité immédiate de mettre en place nos idées au niveau national, nous ne nous lancerons pas dans la politique fiction ou les envolées lyriques. Nous savons, de plus, que les révolutionnaires héritent de la situation que les régimes qu’ils renversent ont produite. Le capitalisme ayant ravagé nos vies, nos esprits et notre environnement, nous serons face à son bilan globalement négatif quand il s’effondrera sous les coups de ses contradictions et/ou d’attaques dissidentes. Un long travail s’annonce pour reconstruire une société vivable. Nous ne présenterons donc que des orientations, des objectifs idéaux mais réalisables.

Les tenants du système jugeront cela utopique selon leurs normes, nous répondrons à ces personnes à la vue courte que ce qui est impossible dans leur monde ne le sera plus demain. Que la sortie progressive du capitalisme modifiera la perspective des possibilités que nous avons actuellement. Les contradictions du capitalisme ne peuvent se résoudre que par son démantèlement et son remplacement par un modèle social-économique de nature radicalement opposée. Le Socialisme Révolutionnaire Européen se veut une réponse à l’impasse dans laquelle nous nous débattons. Au delà du clivage Droite/Gauche, il défend sans concessions les intérêts des travailleurs contre l’oligarchie capitaliste. Il est porteur d’un projet alternatif propre à la réalité française et européenne.

 

L’Organisation Socialiste Révolutionnaire Européenne combat dans le but de créer une société juste et libre sur les bases suivantes :

 

  • La défense de la France des travailleurs. Pour nous la Patrie est avant tout une communauté vivante tournée vers l’avenir. Nous refusons de l’enfermer dans le passé et la nostalgie, sa raison d’être est la volonté de vivre ensemble, de lutter pour une destinée commune et pour la justice sociale. Menacée de disparaître dans la mondialisation, la France est encore un bouclier contre les agressions du capitalisme. Elle a la possibilité de devenir un point d’appui pour la résistance à la globalisation en Europe à condition que les travailleurs se réapproprient les leviers essentiels de la souveraineté.

  • Sortir de la « Technocratie Européenne », pour construire une autre Europe. Nous combattons l’Union Technocratique Européenne, qui est au service des intérêts de la mondialisation capitaliste (son rôle étant de faire éclater les Etats et de détruire les acquis sociaux des travailleurs) et au service de l’impérialisme américain. Partisans d’une Europe respectueuse des Nations, des Peuples et des Régions, nous voulons qu’elle devienne un espace culturel et politique commun basé sur le principe de subsidiarité. Il faut créer un espace géopolitique fort pour mettre en place une alternative au capitalisme et soutenir les luttes des peuples contre l’impérialisme mondialiste. Dans cette optique la sortie de la France de l’OTAN, organe militaire des intérêts impérialistes étasuniens, constitue un axe majeur de notre combat et de notre propagande. Un même courant antiotanesque doit parcourir toute l’Europe.

  • Un véritable Socialisme. La sortie du système capitaliste est notre priorité, nous voulons affirmer qu’une alternative existe à sa domination. Notre Socialisme traduit la volonté de rendre aux travailleurs la maîtrise de leur destin. Poursuivant la longue tradition du mouvement révolutionnaire ouvrier, il place les intérêts de la communauté au-dessus des intérêts particuliers des individus atomisés et des classes privilégiées. Le socialisme implique l’assujettissement de l’économique au politique orienté vers le bien commun, celui de l’immense majorité des travailleurs. Nous voulons une société qui permette à chacun de vivre dignement et où l’existence ne soit plus une course effrénée aux profits et aux bonheurs artificiels.

  • Un changement radical de société La transformation des formes de propriétés (développement de la propriété et de la gestion collective des entreprises), de production (devant libérer les prolétaires de l’aliénation salariale et protéger leur environnement) et de travail (devenant une contribution à la richesse de l’ensemble de la Nation et de ce fait générant des droits politiques spécifiques pour les travailleurs) devront aboutir à une transformation radicale de la société ; transformation nécessairement conduite grâce à l’hégémonie politique des travailleurs jusqu’à maintenant privés de tout pouvoir authentique de décision. La nationalisation/socialisation de tous les secteurs industriels et financiers stratégiques ainsi que des services indispensables à la communauté (revalorisation de l’idée de service public) doit assurer les intérêts vitaux de la Nation. Assurer une vie digne à l’ensemble des membres de la communauté nationale, en permettant l’accès de tous (en particulier les familles populaires) à la santé, à l’éducation et à une retraite décente est un objectif raisonnable.

  • Le Pouvoir au Peuple. A la démagogie et aux manipulations médiatiques dans laquelle sombre le politique à notre époque, nous opposons une République profondément renouvelée dans ses institutions par le Socialisme. La Souveraineté Populaire doit s’exprimer dans l’ensemble des mécanismes de gouvernement. Notre objectif est une démocratie participative, fédérative, organique et directe incarnée par la multiplication des assemblées populaires au niveau local (importance des communes et des conseils de travailleurs). Ce sont ces leviers qui permettront de faire basculer le rapport de force entre le Capital et le Travail, rendant ainsi au travail vivant sa prédominance sur les moyens de production mis à la disposition dans le système actuel, de l’accumulation capitaliste se traduisant par le productivisme et le processus de valorisation. La tendance à créer une libre association des producteurs bouleversera le rapport au travail (dépassement de l’aliénation et de l’exploitation) et à la pratique de la politique (dépassement de son autonomisation par rapport à la communauté).

     

Le rôle de l’organisation politique. Elle est le cerveau collectif centralisant organiquement le sens des dynamiques sociales captées. Elle fait l’effort de conscientisation nécessaire afin de formuler nettement les orientations essentielles visant le renversement des conditions sociales actuelles. Elle rejette l’immédiatisme et le spontanéisme tout en gardant une suffisante souplesse afin d’examiner ce qui vaut la peine d’être appuyé dans la mesure où cela favorise les finalités que nous poursuivons.

Son existence naissante est actuellement le symptôme apparaissant d’un bouleversement en train de se produire dans les profondeurs de la société capitaliste et elle se connaît en tant que telle, elle en est la conscience de classe agissante.

Il n’y a pas de praxis révolutionnaire sans théorie révolutionnaire et pas d’unité entre les deux sans la médiation de l’organisation révolutionnaire.    

 

1620335837.jpg

28/06/2010

Bretagne, un cercle Rébellion en construction

Des camarades de la région Bretagne veulent mettre en place un cercle Rébellion sur la région Bretagne ( Rennes en particulier). Si vous voulez participer à cette aventure, écrivez-nous :

rebellionbretagne@yahoo.fr

 

Sans titre.png

21/06/2010

Edito du numéro 42 de Rébellion : Peuples d'Europe, soulevez-vous !

« Peuples d'Europe, soulevez-vous ! »

Pouvait-on lire en grec et en anglais sur la banderole, accrochée au rocher de l 'Acropole à Athènes. Au pied du Parthénon, plusieurs centaines de militants du KKE (Le Parti Communiste Grec) étaient mobilisés pour lancer cette appel au soulèvement des travailleurs européens. Un symbole fort, car la Grèce est aujourd'hui la proie de la rapacité des mondialistes. On saigne le peuple grec avec des mesures de rigueur d'une sévérité inédite,le pays étant à la merci de ses créanciers de l'Union Européenne et du FMI.

En Espagne et au Portugal, les travailleurs sont aussi obligés de payer pour les spéculateurs du Capital. Des plans d'austérité augmentent encore d'avantage l'énorme poids déjà supporté par les classes populaires. Les grandes multinationales financières misant sur l'effondrement de ces pays pour empocher la mise, nous sommes confrontés aux pires rapaces financiers du système. Dans cette affaire, l'Union Européenne a prouvé que son rôle n'était pas de défendre les travailleurs mais d'assurer les intérêts à court terme du Capitalisme. L'Allemagne dans sa logique incendiaire ne rechercha qu'une baisse de l'Euro pour garantir une reprise de ses exportations pour ses industriels.

Et la France dans tout cela ? Le spectre de la crise grecque est agité afin de faire peur et rendre les « réformes » inévitables. L'augmentation de l'âge de départ à la retraite (62 ans et 67 ans pour un taux plein) est désormais acquis et rien ne semble pourvoir dire que cette régression sociale soit la dernière car, de Droite comme de Gauche, aucun dirigeant futur ne remettra en cause le plan du capitalisme pour assurer sa survie. La classe dominante justifie son attaque par l'allongement de la durée moyenne de vie dans nos sociétés. Où l'on voit, que tout progrès matériel et technique au sein du système capitaliste se retourne systématiquement contre les travailleurs. Il faut travailler plus pour pérenniser un mode de production totalement absurde dans lequel ce qui importe est de réaliser au sein de la circulation marchande la valeur d'une masse de marchandises dont une grande part est soit totalement inutile voire nuisible sur le plan humain et écologique soit de qualité nettement insuffisante mais qui cristallise le taux de profit nécessaire à l'accumulation capitaliste. Peu importe pour les philistins de la pensée dominante que le travail soit, de surcroît, lieu de production de l'aliénation et que les prolétaires perdent leur existence à s'abrutir, durant des décennies, par le travail salarié mortellement ennuyeux. Ces derniers n'ont même plus l'espoir, dorénavant, de voir leur survie matérielle à peu près assurée correctement. La paupérisation croissante des prolétaires est en marche. Ne parlons même pas des pays globalement pauvres où la situation sociale est hallucinante et dans laquelle une minorité ostensiblement riche cotôie un abîme de misère.

Dans ce contexte explosif, l'étonnant pour nous est que rien n'explose.

Le domination idéologique du système semble avoir enfoncé dans les esprits (1) le découragement, la résignation et l'acceptation. Ce constat est sombre, mais il ne faut pas renoncer pour autant à poursuivre notre critique. Car les germes des futures révolutions se trouvent au plus haut point dans les contradictions et les tensions des sociétés capitalistes occidentales.

Nous ne pouvons que souscrire aux propos de Gilles Dauvé et Karl Nesic dans leur récent texte : « Si la révolution communiste doit pour réussir fusionner les réactions contre la misère imposée par le capitalisme et les refus de la fausse richesse proposée par ce même capitalisme, cette critique double et globale n'est possible qu'au sommet d'un cycle de développement capitaliste, quand les composants de ce cycle sont à leur tension maximale et commencent à être mis en crise par les revendications du travail et par un début d'épuisement de la rentabilité du capital, si donc notre hypothèse est juste, les régions et pays dits développés y offrent les conditions les plus favorables. Une telle critique suppose en effet une forte colonisation marchande de la société, une proportion élevée de salariés ou de salariables, et des habitudes de consommation déjà ancrées. Pour reprendre le concept, cette critique suppose une domination réelle du capital (…) . Le rejet conjoint de ce que le capitalisme a effectivement de pire et imaginairement de meilleur suppose un environnement social où ces deux réalités sont présentes et en opposition, pour que les prolétaires s'en prennent à la fois à l'une et à l'autre » (2) .

L'Europe, par son histoire et sa situation, pourrait devenir le foyer de cette prise de conscience. Les prolétaires européens n'ont pas encore dit leur dernier mot.

Notes :

1) L'opium du peuple se décline aujourd'hui sous un mode spectaculaire aux mille facettes et toujours plus ou moins lucratif pour quelques filous. Un exemple récent: Sarkozy a accouché d'une proposition économique géniale à laquelle Ricardo et Smith n'auraient jamais songé; défendant à Genève la candidature de la France pour l'organisation de la future Coupe d'Europe de Football, il soutint doctement que la solution à la crise "c'est le sport"! On peut s'interroger sur la décrépitude intellectuelle de la bourgeoisie dans le monde contemporain. Gageons néanmoins que pour ces célébrations sportives, quelques industriels chinois pourront à nouveau, comme ils l'ont fait en Afrique de sud, fourguer leurs ignobles trompettes assourdissantes en plastique. Tout un symbole de la mondialisation économique capitaliste, de sa vulgarité inesthétique et de l'imbécillité de masse qu'elle engendre...

2) - Gilles Dauvé & Karl Nesic, Sortie d'Usine, Trop Loin. Mars 2010.

http://troploin0.free.fr/ii/index.php/textes/50-sortie-dusine

 

 

AKROPOLI3.jpg

 

 

03/05/2010

Où en sommes-nous ? A l'assaut de l'Avenir !

image.jpg

Après une année militante particulièrement chargée (avec le développement et l'amélioration de la qualité du journal, le lancement d'une structure militante et la sortie d'un livre manifeste) il était important de faire un bilan pour nos lecteurs. La question est de savoir ce qui légitime encore notre existence indépendante en tant que revue politique et embryon d'organisation politique ? Quelle forme doit prendre notre engagement ?

Depuis 2003, et la fondation de la revue, nous avons accumulé une certaine expérience qui nous permet de juger avec un certain recul l'évolution des mouvances radicales actuelles. Nous nous sommes confrontés à la réalité politique, pas derrière un clavier d'ordinateur mais sur le terrain militant. Cela, loin de nous décourager, a renforcé notre conviction que seul l'engagement collectif pouvait amener un début de solution à la crise du mouvement révolutionnaire.

Nous souhaitons adresser un salut fraternel à tous les camarades qui suivent notre modeste journal, parfois depuis les débuts. A chaque réception d'un courrier d'encouragement ou rencontre d'un de nos lecteurs, nous avons le sentiment de nous rendre utiles à une cause commune.

 

Rébellion, une indispensable prise de conscience

Nous ne nous retrouvons guère dans les solutions proposées par nombre de partis ou d'associations politiques. Dès l'origine, nous avons considéré que la revue Rébellion devait constituer un noyau de résistance et d'expression autonome envers tous les courants maintenant ses adhérents/sympathisants dans les pièges du système et de ses multiples ressources de manipulation/désorientation.

C'est une nécessité vitale pour nous de faire connaître nos idées le plus largement possible. Dès le début, la fonction du journal était d'être un embryon d'organisation. Nous avions la conviction, que nous conservons, que cette organisation ne pouvait se construire sur du vide, que des fondations solides étaient nécessaires.

La revue fut le cadre de la poursuite d'un intense travail théorique pour donner un contenu à notre vision du Socialisme Révolutionnaire Européen. « Sans théorie révolutionnaire, pas de mouvement révolutionnaire » écrivait Lénine. Nous nous sommes attelés à définir nos positions de manière solide, mais nous avons conscience qu'il est maintenant important de revenir de manière régulière sur certains points pour les éclaircir et les rendre accessibles à tous. Mais cela implique que nos lecteurs ne restent pas passifs, un travail de formation politique est indispensable. La lecture et l'étude des textes d'analyse du mouvement révolutionnaire sont indispensables pour forger les esprits.

Pour nous, le travail théorique permet de rendre aux événements tout leur sens, d'expliquer la marche du monde et de déjouer les piéges de la désinformation. Rébellion alimente l'esprit critique de ses lecteurs, donne une orientation claire au combat SRE et participe à la construction d'une organisation révolutionnaire efficace.

Les cercles Rébellion et l'OSRE : s'organiser oui ! Mais pourquoi ?

L'activité militante SRE eut pour premier cadre les cercles Rébellion. Cette structure s'occupe en priorité de la diffusion de la revue et sert de cadre de regroupement local à nos adhérents, lecteurs ou sympathisants. En Mai 2009, la création de l'OSRE a eu la fonction de proposer un cadre cohérent à ceux désirant s'engager un peu plus.

La question de l'organisation a toujours été un enjeu crucial dans l'histoire du mouvement ouvrier révolutionnaire. Afin de répondre aux exigences du combat pour l'alternative à la société capitaliste, les travailleurs durent mettre en place des structures  pour défendre leur cause. Face à la répression et comme réponse concrète aux aspirations de changement des classes populaires, ils surent bâtir des organisations efficaces, qui ne laissaient pas la place à l'amateurisme.

Nous constatons que la plupart de nos jeunes lecteurs, s'ils sont souvent "idéalistes", manquent totalement d'expérience militante. Nous devons donc transmettre cela et participer à la formation de cette jeune génération.

L'esprit militant SRE

L'engagement militant est pour nous un devoir volontairement accepté. Servir un idéal implique d'être exigeant avec soi-même. Le dépassement de l'individualisme moderne passe par l'affirmation d' une volonté révolutionnaire. Nous insistons souvent sur "l'impersonnalité de l'action", c'est-à-dire que l'action et la pensée relèvent d'un niveau collectif plus fort que les ego de chacun .

Cette vison n'est nullement sectaire ou élitiste. L'organisation est tout à la fois vivante ( car enrichie par la diversité des positions, des expériences et des discussions entre camarades) et unie dans l'action (chacun devant suivre les décisions collectives une fois fixées). En ne laissant jamais la place à la confusion ou au dilettantisme, nous affirmons que chaque militant est responsable de la progression des idées SRE devant l'Histoire.

Un engagement sérieux implique de la constance, de la passion, du courage, des sacrifices, de l'audace, un sens de la décision dans les moments cruciaux... Tout cela, le SRE le porte en lui. Mais plus fort que tout, le courage de ne jamais reculer est le ciment de notre communauté militante.

 

3 objectifs clairs pour les mois à venir : Education, Agitation, Organisation.

Nous demandons à l'ensemble de nos militants, lecteurs et sympathisants de nous aider à faire progresser de manière décisive notre organisation. Chacun à son niveau et selon ses moyens, nous devons parvenir à :

1er - Augmenter la diffusion de la revue Rébellion de manière significative. Cela passe prioriatirement par l'augmenation des abonnements, pour cela faîtes connaitre massivement notre revue autour de vous (à vos camarades, à vos collégues, à votre liste de contacts mails, dans vos publications ou sites internet, en écrivant aux journaux que vous lisez pour présenter notre revue). Nous recherchons activement de bonnes volontés pour assurer la diffusion miltante en librairie et dans les cercles militants.

2er - Implanter les cercles Rébellion et l'OSRE. Il faut inonder votre région, votre quartier ou université sous le matériel militant SRE (tracts, affiches, autocollants). Organisez des rencontres de présentation de la revue et mettez en place un réseau d'associations proche de notre organisation dans le maximun de villes.